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    DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012)

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    film - DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012) Empty DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012)

    Message par LvT Mer 6 Juin - 11:13

    film - DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012) Django10

    SYNOPSIS

    Le parcours d'un chasseur de prime allemand et d'un homme noir pour retrouver la femme de ce dernier retenue en esclavage par le propriétaire d'une plantation...

    BANDE-ANNONCE


    https://www.youtube.com/watch?v=TeyIvntknT4
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    film - DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012) Empty Re: DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012)

    Message par Mitchell Mer 6 Juin - 20:59

    Bof.
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    film - DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012) Empty Re: DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012)

    Message par Colqhoun Mer 6 Juin - 21:28

    Bof aussi.
    C'est pas en mettant un peu de funk par dessus des images de Christoph Waltz qui raconte des conneries que ça devient forcément fun.
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    film - DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012) Empty Re: DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012)

    Message par Etheroman Mer 6 Juin - 22:08

    Cette mode, ça ne m'inspire pas du tout. Ces gens sont devenus des caricatures d'eux-mêmes. Je n'ai pas vu la vidéo, cela dit. :-P
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    Message par twix Jeu 7 Juin - 1:06

    bof également, mais je demande à voir
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    film - DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012) Empty Re: DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012)

    Message par LvT Mar 15 Jan - 0:36

    Quentin Tarantino signe avec Django Unchained son meilleur film depuis Jackie Brown: un régal de cinéphile qui fait attention à mesurer ses effets, des dialogues ciselés, à mille lieues des facilités pénibles de Boulevard de la mort, des acteurs au sommet, et une des scènes comiques les plus mémorables depuis fort longtemps. Le Tarantino que l'on aime, un cinéaste passionné en pleine forme et non juste l'égérie de ses fans.

    Quel plaisir cela fait de retrouver Quentin Tarantino avec un film qui tient de nouveau la route, s'attardant sur le cinéma et non les attentes de ses aficionados. Un artiste se doit d'écouter ses admirateurs autant que ses détracteurs, mais ne doit jamais céder à faire ce que l'on attend de lui. Il perdrait sa personnalité. Après son chef-d'oeuvre Jackie Brown, Tarantino donnait l'impression de ne plus pratiquer son art que pour la seule raison de ne pas décevoir ses fans. Cela a donné naissance à Kill Bill, un melting pot assez indigeste de tout ce qui plaît à son auteur. On a trop vite érigé ce diptyque en monument uniquement parce qu'il était l'oeuvre de son réalisateur et non pour ce qu'il est vraiment. On passera très vite sur le catastrophique et pathétique Boulevard de la mort qui souffre d'un maniérisme absolu et ne convainc plus que la garde rapprochée de ses fanatiques, ceux qui lui vouent un culte immodéré quoi qu'il fasse. Puis ce fut le tour de Inglourious Basterds qui, malgré beaucoup de défauts et de tics, montrait une remontée vers un cinéma moins geek.

    Avec Django Unchained, Tarantino retrouve enfin tous ses moyens. Tout d'abord son scénario fonctionne à merveille, sans partir dans tous les sens. Il part d'une idée simple et originale. Deux ans avant la Guerre de Sécession, un chasseur de prime allemand, Dr. King Schultz, qui se couvre derrière l'identité d'un dentiste itinérant, et un esclave noir du nom de Django font équipe. En échange de l'identité de trois de ses anciens bourreaux dont les têtes sont chèrement mises à prix, le docteur promet à Django de sortir sa femme, qui parle elle aussi l'allemand, des griffes d'un horrible propriétaire terrien. En partant de cette base, Tarantino signe un film linéaire qui suit cette alliance contre nature, émaillé ça et là par quelques flashes back parfaitement dosés et placés. Django Unchained fonctionne sur les rencontres entre notre duo et les autres, leurs proies, leurs gagne-pain. On pourrait même trouver une structure théâtrale à l'ensemble où les actes seraient les différents endroits dans lesquels se rendent le docteur et Django. Les personnages sont parfaitement cyniques et Tarantino joue à merveille sur l'adage trop poli pour être honnête. Il sertit ses dialogues de formules alambiquées très souvent hilarantes. On est au spectacle et le réalisateur dispose d'outils extraordinaires pour s'amuser et divertir, et avant tout d'un casting trois étoiles.

    Commençons par le héros du titre. Django c'est Jamie Foxx et il a la tâche de faire vivre le personnage le moins truculent de l'histoire, mais au fur et à mesure que le film avance il retient les leçons de son sauveur et mentor, Schultz, devenant aussi cynique que lui, mais il fait passer ses sentiments et ses humeurs par son regard et sa gestuelle. Il porte même fièrement une livrée de valet bleue sans que ce ne soit le ridicule qui provoque les rires de l'assistance. Et c'est d'ailleurs l'un des tours de force de ce film très drôle: on ne rit pas au détriments des personnages, mais avec eux. Le film regorge d'invités dont on retiendra surtout la prestation de Don Johnson en propriétaire sudiste. C'est grâce à son personnage que l'on a droit à la séquence la plus hilarante qui le met en scène au milieu d'un groupe d'énervés qui préfigure ce que l'on appellera au sortir de la Guerre de Sécession le Klu Klux Klan: un gag énorme et pertinent qui rentrera dans les annales de la comédie au cinéma. Le grand méchant du film, c'est Leonardo Di Caprio, alias Calvin Candie, un marchand d'esclave très fortuné que l'on doit nommer Monsieur Candie car il est passionné par la culture française. Le comédien, que ses détracteur n'aiment pas uniquement à cause de son visage qu'ils jugent poupin, fait des merveilles. Il use diaboliquement de son sourire carnassier subtilement taché par des marques de tabac. Il est l'image même du personnage qui possède le pouvoir et en abuse à tort et à travers. Autant dire qu'il est susceptible et qu'il réagit souvent comme un enfant trop gâté. Il est juste impeccable de bout en bout et prouve encore une fois qu'il fait partie du haut du panier de sa génération. Son valet est incarné par un Samuel L. Jakson au sommet de son art. Il joue un esclave de maison faillot, entièrement dévoué à son maître. Il incarne un être veule qui se place toujours du côté du pouvoir, quel qu'il soit, un opportuniste de haute volée. Et enfin il y a l'excellent Christoph Waltz, un acteur instinctif de très grande classe, réussissant toujours à se fondre complètement dans ses personnages. Le Dr. King Schultz, magnifiquement écrit, parle avec un accent allemand, est très bavard et déterminé. Toujours poli et aimable il cache son jeu par son panache exacerbé qu'il utilise pour se sortir de toutes les situations, même les plus scabreuses.

    Bien qu'il ait recours à de nombreux effets chers aux westerns spaghetti comme les zooms avant ou arrière très rapides accompagnés d'une intervention musicale comique, les ralentis, les très gros plans ou les geysers de sang, Tarantino n'en abuse pas et parvient toujours à placer ses effets au bon endroit et au bon moment. Son choix musical donne logiquement la part belle à Ennio Morricone et Luis Bacalov. Robert Richardson signe une photographie magnifique avec ce don particulier qu'il a de rendre les blancs aveuglants. Le montage de Fred Raskin est lui aussi remarquable car il ne cherche jamais à se mettre en avant, il se pose ou s'emballe judicieusement. Il atteint son apogée dans la fusillade de la propriété de Calvin Candie. Au final Django Unchained est un véritable régal, qui ne sombre jamais dans la prétention, et une oeuvre comique mémorable. Un très grand milésime.
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    Message par Colqhoun Mar 29 Jan - 0:18

    Il y a quelques années, Tarantino, alors qu'il traînait chez lui à mettre des coups de katanas dans des reproductions en silicone de Spike Lee, a soudainement remarqué que sa playlist de films bis avait aléatoirement choisi le Django de Corbucci. Une scène le déconcentre, il se taille un bout de pied au katana et se met à insulter violemment le buste déconfi de Spike Lee. Fuck off nigga, you motherfucka...shheeeeeeeeit.... Oh ! Yeah..
    Et voilà comment lui vint l'idée de faire de Django un esclave noir qui irait défoncer du blanc raciste.

    Entre temps il part en Allemagne réaliser Inglourious Basterds et rencontre Christoph Waltz. Et du coup il se dit que ce serait cool de réaliser un film de chasseur de prime avec le sympathique acteur allemand. Mais les Weinstein lui ont déjà bouclés un budget pour Django et il n'a plus d'autre option que d'aller réaliser son western. Il embarque Waltz et le colle dans toutes les scènes en lui disant de raconter des trucs rigolos avec un vocabulaire un peu élaboré. Et voilà. Django Unchained se transforme en Papa Schultz avec un noir mutique qui vise bien au flingue.

    Manque de pot, le film est chiant comme la mort et seulement parcouru de 4 ou 5 scènes qui méritent un peu d'attention. Pour le reste, beaucoup de blabla sans âme (les monologues de Waltz au début sont insupportables), de violence tarantinienne en pilotage automatique et quelques guests qui font plaisir à voir (mentions à Bruce Dern, Michael Parks, John Jarratt ou encore Tom Savini qui fait coucou depuis le fond d'une scène). L'accompagnement musical va du passable à l'insupportable et l'on a sans arrêt l'impression que QT ne sais ni comment commencer ses scènes, ni comment les terminer. Il met en place une grosse tension, mais peine à la relâcher au bon moment et quand enfin ça s'emballe, le film a déjà perdu notre attention depuis bien longtemps. Le final à rallonge ne fait que rendre le film encore plus pénible et l'on se réjouit de voir, enfin, le générique de fin se lancer.
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    Message par Mitchell Mar 29 Jan - 1:58

    Je rejoins pas mal des écueils de Colqhoun. Mais bon au fond j'ai pris en grande partie beaucoup de plaisir devant ce Django, c'est juste un bon cran en dessous des autres films de QT (ça côtoie Death Proof). Par contre la musique utilisé par Tarantino dans ces films sont toujours l'occasion de quelques découvertes. La plus importantes sur Django étant sans doute ce magnifique morceau de Goldsmith pour Under Fire de Spottiswoode.

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    Message par Colqhoun Mar 29 Jan - 2:28

    Ah ouais elle est fantastique la musique de Goldsmith sur ce film.
    Je dois avoir le cd quelque part d'ailleurs.
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    Message par BigJ. Jeu 31 Jan - 3:10

    Je n'ai pas encore vu DJANGO (pas envie) et justement, son utilisation de musiques préexistantes est une des choses qui me dérange le plus chez lui. Surtout quand je connais la plupart des sources, comme c'est le cas dans le présent opus.
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    Message par Yavin Ven 15 Mar - 22:46

    Ennio Morricone ne veut plus travailler avec Quentin Tarantino (slate.fr)
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    Message par LvT Sam 23 Mar - 14:00

    Propos mal interprétés selon le maestro
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    Message par BigJ. Ven 29 Mar - 23:46

    Tarantino, c'est quand même un peu toujours la même chose, et souvent assez concon dans le fond véhiculé.

    C'est ce que j'ai ressenti avec ce DJANGO.

    Car, quand on prend l'intrigue dans son ensemble, c'est vraiment bête à pleurer et pas du tout intéressant:
    Spoiler:

    Le gimmick de mettre n'importe quelles reprises musicales sur n'importe quelles scènes est aussi idiot que d'habitude. J'ai surtout remarqué la scène avec le Goldsmith, où ça commence plutôt bien, jusqu'au moment où Tarantino est obligé de rallonger la sauce par des ralentis et des plans inutiles pour permettre à la musique d'arriver à sa conclusion.

    J'ai aussi relevé un plan d'exposition où QT mêlait une mélodie italienne avec du rap et qui m'a complètement sorti du film.

    Restent une poignée de très bons acteurs et des scènes d'action bien foutues. Bofbof, quoi.
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    film - DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012) Empty pas un grand film

    Message par agnes.r Sam 22 Juin - 21:56

    Bon django n'est pas un grand film mais reste distrayant. Je ne me suis pas ennuyée et puis on reconnait le style tarantino à sa façon salissante de faire sauter les cervelles avec du sang partout . Il y a des moments drôles et le film se veut être une revanche du héros sur l'esclavage  . j'ai trouvé que les acteurs jouaient bien même si le film est un peu plat et convenu au total .
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    Message par Paz Dim 23 Juin - 1:04

    agnes.r a écrit:Bon django n'est pas un grand film mais reste distrayant. Je ne me suis pas ennuyée et puis on reconnait le style tarantino à sa façon salissante de faire sauter les cervelles avec du sang partout . Il y a des moments drôles et le film se veut être une revanche du héros sur l'esclavage  . j'ai trouvé que les acteurs jouaient bien même si le film est un peu plat et convenu au total .

    C'est surtout trop long.
    J'ai apprécié le film, mais par "tranches". Certains passages, comme celui avec le Ku Klux Klan n'étaient vraiment pas nécessaire. Et l'humour est souvent déplacé et hors de propos. Mais bon, ça c'est le style Tarantino. Et je trouve que ça fonctionne moins bien dans l'univers du western que dans d'autres genres auxquels il s'est attaché. Par contre, j'ai adoré Di Caprio dans le film. Par contre, Tarantion devrait arrêter de faire l'acteur. Il est particulièrement mauvais dans celui-ci. Mais j'achèterai probablement son film en HD quand je le trouverais au rabais.

    Par contre, Agnes, si tu n'a pas vu l'original DJANGO (et si tu es surtout fan de western), c'est une vision très recommandable! Wink
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    Message par agnes.r Dim 23 Juin - 5:26

    non je n'ai pas vu la version originale  mais merci de me l'avoir mentionné. 
    je suis d'accord dicaprio joue vraiment bien dans son rôle de grand méchant et puis j'ai appris ce qu’étaient les combats de mandingues . C'est atroce ce dont les hommes sont capables .
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    film - DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012) Empty Re: DJANGO UNCHAINED de Quentin Tarantino (2012)

    Message par Paz Dim 23 Juin - 7:06

    agnes.r a écrit:non je n'ai pas vu la version originale  mais merci de me l'avoir mentionné. 
    je suis d'accord dicaprio joue vraiment bien dans son rôle de grand méchant et puis j'ai appris ce qu’étaient les combats de mandingues . C'est atroce ce dont les hommes sont capables .

    DJANGO de Sergio Corbucci (1966) est un western crépusculaire avec le formidable Franco Nero et son regard bleuté. Cette histoire n'a rien à voir avec celle du Tarantino. Si tu aimes les westerns et que tu n'as rien contre une certaine dose de violence brute (en même temps, tu me sembles avoir survécu à DJANGO UNCHAINED, tu ne devrais avoir aucun mal avec celui-ci!), ça devrait te plaire. Le film existe dans une belle édition zone 2, avec la v.o. sous-titrée français si jamais!





    Et si l'histoire des mandingues t'interpelle, je ne peux que te suggérer de voir le film MANDINGO de Richard Fleischer (1975). C'est passionnant... et révoltant. Avec James Mason et Susan George. Et Fleischer n'est pas n'importe quel réalisateur. On lui doit de nombreuses merveilles comme SOLEIL VERT, LES INCONNUS DANS LA VILLE ou encore L'ETRANGLEUR DE BOSTON pour n'en citer que quelques-uns... Malheureusement, pour pouvoir voir ce film, tu devras te tourner vers l'import (zone 1) en DVD ou en Blu-Ray. Ces éditions sont hélas dépourvus de sous-titres. Mais si l'anglais ne te fais pas peur, ça vaut le coup! Wink
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    Message par marrou Mer 3 Juil - 7:01

    Viens de voir "Buck et son complice" ("Buck and the Preacher") de Sydney POITIER, qui a dû aussi être une des inspirations de TARANTINO.

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