Et un héros de Marvel de plus à l'écran!
En 1942, Steve Rogers sert de cobaye dans une expérience pour créer une armée de super-soldats américain contre le nazisme.
Le film arrivait chez nous avec une rumeur plutôt positive et un franc succès au box-office américain. En même temps, le film est réalisé par le responsable du récent désastre THE WOLFMAN, mais aussi de OCTOBER SKY (une vraie perle) et THE ROCKETEER, qui était pas trop mal et dont certains élément lorgnent vers le présent "Captain".
Hé bien... c'est un désastre!
En bref: le film dégage très peu d'émotion, la réalisation et le scénario sont tour-à-tour mous et saccadés, l'action est globalement ennuyeuse.
Pour moi, le plus gros défaut structurel réside dans le besoin d'inclure trop d'éléments, au détriment d'une ligne scénaristique et émotionnelle cohérente.
((SPOILERS LÉGERS.))
Steve Rogers est d'abord décrit comme un gringalet geignard, mais quand il devient Captain America, il conserve une grosse part de mélancolie et de passivité.
Et enfin, de tous les films récents de Marvel, celui-ci apparait comme le tract publicitaire le plus flagrant pour les AVENGERS à venir, et c'est assez navrant.
Rideau.
En 1942, Steve Rogers sert de cobaye dans une expérience pour créer une armée de super-soldats américain contre le nazisme.
Le film arrivait chez nous avec une rumeur plutôt positive et un franc succès au box-office américain. En même temps, le film est réalisé par le responsable du récent désastre THE WOLFMAN, mais aussi de OCTOBER SKY (une vraie perle) et THE ROCKETEER, qui était pas trop mal et dont certains élément lorgnent vers le présent "Captain".
Hé bien... c'est un désastre!
En bref: le film dégage très peu d'émotion, la réalisation et le scénario sont tour-à-tour mous et saccadés, l'action est globalement ennuyeuse.
Pour moi, le plus gros défaut structurel réside dans le besoin d'inclure trop d'éléments, au détriment d'une ligne scénaristique et émotionnelle cohérente.
((SPOILERS LÉGERS.))
- Spoiler:
- Ainsi, le film consacre une portion importante au retour du Capitaine dans "notre monde", alors que c'est vraiment une histoire à raconter plus tard, et avant de devenir un vrai Super Soldat, Captain America est utilisé comme pur instrument de propagande (emprunt grossier à FLAGS OF OUR FATHERS), ce qui ne m'a pas convaincu.
Steve Rogers est d'abord décrit comme un gringalet geignard, mais quand il devient Captain America, il conserve une grosse part de mélancolie et de passivité.
Et enfin, de tous les films récents de Marvel, celui-ci apparait comme le tract publicitaire le plus flagrant pour les AVENGERS à venir, et c'est assez navrant.
Rideau.
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