Une idée qui me trotte dans la tête depuis quelques temps: faire l'éloge d'un film qu'on a détesté. Je pense que ça peut être un exercice de style intéressant. C'est toujours bon pour l'esprit critique de se mettre dans la position de celui avec qui on est pas d'accord. C'est aussi un exercice d'introspection qui ne peut-être que bénéfique.
Marley et moi
Marley et moi est un exercice d'équilibriste difficle à réussir. Le film prend le pari de lier l'histoire d'amitié, facilement mièvre, d'un chien et de son maître. David Frankel parvient à renouveler le genre du film d'animaux en l'inscirvant dans le parcours de vie d'un humain, un vrai. Ainsi, nous suivrons John dans sa recherche du bonheur, ses choix parfois difficiles et, au final, la construction d'une famille heureuse. Bon gré mal gré, il parviendra à trouver sa place dans le monde accompagné de son fidèle Marley. Le chien reste au second plan mais joue le rôle de catalyseur dans les aventures du héros. Cette idée originale permet de présenter la relation entre un homme et son animale de compagnie de façon intelligente. La profondeur du personnage - on suit ses pérégrination sur plus de dix ans- de John qui est sublimée par Marley le Golden retriever.
Tantôt drôle, dramatique mais surtout profondément humain, Marley et moi est une grosse tranche de vie. Celle du chien, pour une fois plus acteur que faire-valoir. Et celle de l'homme, puis de toute une famille. Un film sincère et sans naïveté comme on aimerait en voir plus souvent.
Un topic qui va peut-être nous aider à rester du côté ensoleillé de la rue.
Marley et moi
Marley et moi est un exercice d'équilibriste difficle à réussir. Le film prend le pari de lier l'histoire d'amitié, facilement mièvre, d'un chien et de son maître. David Frankel parvient à renouveler le genre du film d'animaux en l'inscirvant dans le parcours de vie d'un humain, un vrai. Ainsi, nous suivrons John dans sa recherche du bonheur, ses choix parfois difficiles et, au final, la construction d'une famille heureuse. Bon gré mal gré, il parviendra à trouver sa place dans le monde accompagné de son fidèle Marley. Le chien reste au second plan mais joue le rôle de catalyseur dans les aventures du héros. Cette idée originale permet de présenter la relation entre un homme et son animale de compagnie de façon intelligente. La profondeur du personnage - on suit ses pérégrination sur plus de dix ans- de John qui est sublimée par Marley le Golden retriever.
Tantôt drôle, dramatique mais surtout profondément humain, Marley et moi est une grosse tranche de vie. Celle du chien, pour une fois plus acteur que faire-valoir. Et celle de l'homme, puis de toute une famille. Un film sincère et sans naïveté comme on aimerait en voir plus souvent.
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