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    NEW YORK, I LOVE YOU d'un nombre conséquents de réalisateurs (2009)

    Paz
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    NEW YORK, I LOVE YOU d'un nombre conséquents de réalisateurs (2009) Empty NEW YORK, I LOVE YOU d'un nombre conséquents de réalisateurs (2009)

    Message par Paz Dim 3 Jan - 4:34

    NEW YORK, I LOVE YOU d'un nombre conséquents de réalisateurs (2009) 5041471020a1
    NEW YORK, I LOVE YOU de Fatih Akin, Yvan Attal, Allen Hughes, Shunji Iwai, Wen Jiang, Joshua Marston, Mira Nair, Brett Ratner, Randall Balsmeyer, Shekhar Kapur & Natalie Portman (2009)

    Après PARIS, JE T'AIME, un autre film qui parle d'amour sous différentes formes dans une autre grande ville du monde : New York. Comme l'oeuvre précédente, celle-ci est réalisé par un nombre conséquent de réalisateurs venant de différents horizons avec une sensibilité bien à eux. NEW YORK, I LOVE YOU se distingue tout de même par un plus grand souci d'homogénéité, essayant tant bien que mal de relier ces petits histoires entre elles. Ce n'est donc ici plus vraiment une suite de courts-métrages avec un univers propre aux différents quartiers qui consituait l'intérêt de PARIS, JE T'AIME. NEW YORK, I LOVE YOU est plutôt une suite de petits moments furtifs, touchants, drôles, émouvants... C'est un petit peu de magie qui flotte dans l'atmosphère new yorkaise qui est offert au spectateur. Forcément, si vous connaissez bien certains endroits et décors où se baladent la distribution du film, l'intéret demeure encore plus grandissant. Après, c'est obligé d'avoir vos parties préférées et certains morceaux du film sont meilleurs que d'autres. On peut plus apprécier l'émotion qui se dégage du segment de Shunji Iwai (avec Orlando Bloom et Christina Ricci) que la partie de drague auquel nous convie Yvan Attal (avec Ethan Hawke et Maggie Q). Mais chacun d'eux, à sa petite touche personnelle. Même celui de Brett Ratner est chouette, avec la jeune fille en chaise roulante qui veux aller au Bal de promotion. On y croise bon nombre de visages, allant de Natalie Portman qui se marie avec un juif, Robin Wright Penn qui allume Chris Penn au détour d'un restaurant, Eli Wallach qui se fait réprimander par sa femme.... Ca débute par un vol de porte-monnaie et une drague dans un café vide pour se finir en douceur, accompagnant deux vieilles personnes regardant la mer depuis la grande plage déserte de Coney Island. Imparfait mais remplit de beaux moments, aussi courts soit-ils, NEW YORK, I LOVE YOU est un bel hommage à sa ville.



    https://www.youtube.com/watch?v=5katNrnYb8U
    Bridget
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    NEW YORK, I LOVE YOU d'un nombre conséquents de réalisateurs (2009) Empty Re: NEW YORK, I LOVE YOU d'un nombre conséquents de réalisateurs (2009)

    Message par Bridget Dim 3 Jan - 9:27

    Film que j'ai vu en avant-première l'été dernier à Cinélac. Il m'a beaucoup plu et je suis très étonnée de voir qu'il a reçu de mauvaises critiques. Les gens sont pénibles... Evil or Very Mad

    C’est devenu un concept ou une série, www.citiesoflove.com , les prochaines villes étant Shanghaï et Rio. Personnellement, j’adorerais voir Roma, Ti Amo, il y aurait de quoi faire…

    Le résultat est magnifique ! Les CM sont plus "fondus-enchaînés" les uns aux autres, contrairement à Paris, on ne remarque pas immédiatement la transition d’une histoire à l’autre. Des images de la ville donnent presque l’illusion que toutes ces petites histoires se passent quasi-simultanément ou dans un espace de 24h. Certains personnages refont une apparition plus tard, à la manière de Short Cuts ; les personnages vivent dans la même ville, il n’est donc pas improbable que leurs chemins se croisent.

    Certaines séquences sont assez statiques, avec beaucoup de dialogues, ce n’est donc pas toujours la ville qui est mise en avant. Mais les dialogues sont très bons, ce reproche tombe donc assez rapidement. En revanche, le côté très multi-culturel de la ville est très présent, les langues, les ethnies, les coutumes… Un des personnages le dit d’ailleurs (Julie Christie, en vieille cantatrice) : "Ce qui me plaît ici, c’est que tout le monde vient d’ailleurs."

    Ce qui est un peu dommage aussi, c’est que l’amour prenne un peu trop souvent la forme de sexe. Les deux sont étroitement liés, d’accord, mais quand même… Et la tendresse, bordel ?

    Et le générique : tout un programme, une foule de noms à donner le tournis !

    On y rend hommage à Anthony Minghella, qui a écrit une des histoires, mais qui est décédé avant le début du tournage.

    Je me réjouis déjà de le revoir ! bounce (en DVD, pour voir les deux segments qui ont été coupés, un par Scarlett Johansson et l’autre par un certain Andrei Zvyagintsev)

      La date/heure actuelle est Lun 13 Mai - 15:40